EMPOWERMENT FEMMINILE E SVILUPPO RURALE – 2022

Il progetto, cofinanziato con l’8×1000 della Chiesa Valdese, ha come obiettivo lo sviluppo rurale e la lotta alla malnutrizione per le famiglie nel comune di Silly, nei villaggi di Tonon e Nevrì nella regione Centro Ovest del Burkina Faso, attraverso tre processi:

  1. identificazione e produzione di aree dedicate all’orticoltura comune
  2. ristrutturazione e produzione di aree già dedicate all’orticoltura comune ancora in stato di abbandono
  3. l’organizzazione e l’esecuzione di programmi di formazione per i gruppi coinvolti nel progetto.

Relazione del Capo Progetto Locale Xavier – Luglio 2022-

PROPOSITION DE PUBLICATION SUR LE PROJET « AUTONOMISATION DES FEMMES ET DEVELOPPEMENT RURAL »

1) Préambule

La sécurité alimentaire est l’une des préoccupations majeures au Burkina Faso qui oblige les gouvernants, les partenaires techniques et financier, les ONG et association à se mobilisés pour l’atteintes d’une sécurité alimentaire.

L’association pour la coopération et le développement en Afrique (ACSA) de ROVIGO n’est pas resté en marge de cette quête de sécurité alimentaire en œuvrant à la mise en œuvre de projets de développement économique et social dans la région du centre ouest ; province de la Sissili ; commune de Silly et précisément dans les villages de TONON, NEVRI et SADOUIN .

Le projet « autonomisation de femmes et développement rural : l’autonomisation des femmes peut être cultivée » est actuellement l’un des cas pratiques du concours de ACSA à la sécurité alimentaire dans la commune de Silly.

2) Présentation du projet

Le projet « autonomisation des femmes et développement rural » est un projet mis en œuvre dans la commune de Silly au profit des femmes des villages de TONON, SADOUIN et NEVRI. Il vise à Soutenir l’amélioration des conditions socio-économiques des familles rurales dans lesdits villages à travers le développement des activités agro-horticole pour la production de semences, de plants et de légumes et la formation des Groupement de femmes .Ce projet a été rendu possible grâce à la volonté manifeste de l’ONG ACSA et de l’église vaudoise. Sur le terrain, le projet est mis œuvre grâce à deux expertises locales notamment un chargé de projet local et un technicien local qui assurent respectivement la responsabilité administrative et économique et la responsabilité de technicien terrain.

3) Réalisations

Le projet débuté en janvier 2022 pour une durée prévue de 12 mois a connu la réalisation des activités suivantes :

  • Formation des deux agents locaux sur les procédures de gestion administrative et financière du projet ;
  • Réalisation de deux jardins nutritifs d’une superficie d’un(1) hectare chacun équipés d’un puit phréatique au profit de deux groupements de femmes dans les villages de TONON et de NEVRI.
  • Acquisition de matériels, outillage de jardinage et de semence horticole.

4) Perception du projet au niveau local.

Dans les documents de projet initial, les deux jardins communautaires étaient prévu pour l’amélioration des conditions de vie d’au moins 30-40 familles paysannes avec deux groupements de femmes organisées, engagées dans l’horticulture pour la production de semences, de plantes et de légumes, pour un total de 1000 bénéficiaires, directs et indirects, appartenant aux villages couverts par le Projet.

Nous sommes aujourd’hui au-delà de ces estimations car on enregistre actuelle sur les deux sites 253 femmes  exploitantes. La superficie moyenne exploitée par femme est de 40m². Elles y cultivent présentement des légumes pour subvenir à leur repas du soir.

En somme, ce sont plus de 50 familles qui bénéficient déjà des retombées de ce projet.

5) Difficultés rencontrées

Les difficultés à énumérer sont celles rencontrées par les bénéficiaires.

La maraicher-culture est pratiqué dans la période d’octobre à mai, juste après les récoltes de la saison hivernale. Et durant cette période les arrosages des plants doivent se faire tôt le matin entre 5h et 8h et le soir entre 16h et 18h temps universel.

Or dans chaque jardin il n’y a que la seule source d’eau (puit phréatique) avec des débits moyens pour l’utilisation de toutes les exploitantes. Du coup, les femmes n’arrivent pas à arroser leur production régulièrement et de manière conséquente à permettre une bonne production.

Certaines femmes transportent l’eau à partir d’autre sources lointaine afin de garantir une bonne production de leur spéculation.

Perspectives et suggestions

Dans les prochains jours les femmes bénéficierons de formation sur les techniques de production de plants en pépinière et en semi direct du baobab et du moringa. Pour le reste du temps du projet une autre formation sur les cultures maraichères sera donnée aux femmes en début octobre et enfin l’accent sera mis sur le suivi et l’accompagnement technique des femmes dans leurs activités.

En tant que responsable local du projet, nous recommandons les mesures suivantes pour la suite du projet :

  • La réalisation de nouveaux puits phréatiques additionnels équipés de pompe solaire.
  • La réalisation de bacs à eau dans les jardins pour faciliter l’accès à l’eau à tous les bénéficiaires.
  • L’installation de canaux de canalisations de l’eau dans les parcelles d’exploitation.
  • La réalisation de nouveaux jardins pour désengorger les exploitantes initiales.

Pour terminer, nous remercions ACSA, l’église vaudoise et l’ensemble de ses partenaires pour les efforts consentis dans la concrétisation de ce projet. Nous invitons les donateurs à laisser parler d’avantage leur cœur car les villages bénéficiaires du projet connaissent depuis un certain temps l’affluence de déplacés internes ; ceux-ci fuyant les zones d’exaction terroristes pour venir s’y installer. Cette nouvelle donne influe énormément sur les ressources alimentaires.

Traduzione

PROPOSTA DI PUBBLICAZIONE SUL PROGETTO “EMPOWERMENT DELLE DONNE E SVILUPPO RURALE”.

1) Preambolo
La sicurezza alimentare è una delle principali preoccupazioni del Burkina Faso, che obbliga i governi, i partner tecnici e finanziari, le ONG e le associazioni a mobilitarsi per il raggiungimento di una sicurezza alimentare.
L’Associazione per la Cooperazione e lo Sviluppo in Africa (ACSA) di ROVIGO non è rimasta ai margini di questa ricerca di sicurezza alimentare, lavorando all’implementazione di
progetti di sviluppo economico e sociale nella regione centro-occidentale, nella provincia di Sissili, nel Comune di Silly e in particolare nei villaggi di TONON, NEVRI e SADOUIN.
Il progetto “Empowerment femminile e sviluppo rurale: l’empowerment delle donne può essere coltivato” è attualmente uno dei casi pratici del contributo di ACSA alla sicurezza alimentare nel comune di Silly.

2) Presentazione del progetto
Il progetto “Empowerment femminile e sviluppo rurale” è un progetto realizzato nel comune di Silly a favore delle donne dei villaggi di TONON, SADOUIN e NEVRI.

L’obiettivo è quello di sostenere il miglioramento delle condizioni socio-economiche delle famiglie rurali dei villaggi in questione attraverso lo sviluppo di attività agro-orticole per la produzione di sementi, piante e ortaggi e la formazione di “groupement” di donne.
Questo progetto è stato reso possibile grazie alla manifesta volontà dell’ONG ACSA e della Chiesa Valdese. Sul campo, il progetto viene attuato grazie a due esperti locali, un project manager locale e un tecnico locale, che sono responsabili della gestione amministrativa ed economica del progetto.

3) Risultati
Il progetto è iniziato nel gennaio 2022, ha una durata prevista di 12 mesi ed ha raggiunto, fino ad ora, i seguenti risultati:
-Formazione dei due agenti locali sulle procedure di gestione amministrativa e finanziaria del progetto;
-Costruzione di due orti di un (1) ettaro ciascuno, dotati di un pozzo d’acqua a beneficio di due gruppi di donne nei villaggi di TONON e di NEVRI.
-Acquisizione di materiali, attrezzi per il giardinaggio e sementi per l’orticoltura.

4) Percezione del progetto a livello locale.
Nei documenti iniziali del progetto, i due orti comunitari erano previsti per migliorare le condizioni di vita di almeno 30-40 famiglie di contadini con due gruppi di donne organizzate per dedicarsi all’orticoltura per la produzione di sementi, piante e ortaggi, per un totale di 1.000 beneficiari diretti e indiretti dei villaggi interessati dal progetto.

Ora siamo al di là di queste stime, poiché stiamo registrando sui due siti 253 donne coltivatrici. La superficie media coltivata per donna è di 40 m². Attualmente stanno coltivando ortaggi per provvedere ai propri bisogni familiari.
In totale, più di 50 famiglie stanno già beneficiando del progetto.

5) Difficoltà incontrate
Le difficoltà da elencare sono quelle incontrate dai beneficiari.
L’orticoltura viene praticata nel periodo da ottobre a maggio, subito dopo il raccolto della
stagione invernale. In questo periodo l’annaffiatura delle piante deve essere effettuata al mattino presto tra le 5 e le 8 del mattino e la sera tra le 16 e le 18.
Tuttavia, in ogni giardino c’è una sola fonte d’acqua (pozzo di acqua freatica), con portate medie, ad uso di tutte le donne coltivatrici. Di conseguenza, le donne non sono in grado di irrigare le colture in modo regolare e costante per garantire una buona produzione.
Alcune donne trasportano l’acqua da altre fonti lontane per garantire una buona produzione del loro raccolto.

Prospettive e suggerimenti
Nei prossimi giorni, le donne riceveranno una formazione sulle tecniche di produzione di
piantine di baobab e moringa in vivaio e in produzione semi-diretta. Per il resto del tempo del progetto un’altra formazione sull’orticoltura sarà impartita alle donne all’inizio di ottobre e infine, l’accento sarà posto sul monitoraggio e sul supporto tecnico alle donne nelle loro attività.
In qualità di responsabile locale del progetto, si raccomandano le seguenti misure per il proseguimento del progetto:
-La costruzione di ulteriori pozzi freatici dotati di pompe solari.
-La costruzione di serbatoi d’acqua negli orti per facilitare l’accesso all’acqua per tutti i beneficiari.
– L’installazione di canali d’acqua negli appezzamenti.
– La creazione di nuovi orti per alleviare la pressione sui coltivatori originari.
In conclusione, desideriamo ringraziare ACSA, la Chiesa Valdese e tutti i suoi partner per l’impegno profuso nella realizzazione del progetto.
Invitiamo i donatori a far parlare di più i loro cuori, perché i villaggi che beneficiano del progetto stanno vivendo da tempo un afflusso di sfollati interni, che sono fuggiti dalle aree esposte ad azioni terroristiche per venire a stabilirsi qui. Questa nuova situazione ha un impatto enorme sulle risorse alimentari.